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Cueillette d’essaim

Quelques semaines après le début du printemps, quand les abeilles dans leur colonie se sont bien réveillées, et ont repris des forces avec la chaleur et les fleurs, il peut se produire un phénomène naturel si la population dans l’habitat actuel (ruche ou autre) devient trop importante : les abeilles élèvent des reines et lorsque la première naît, l’ancienne reine part avec un groupe d’abeille : c’est l’essaimage.

Ce groupe d’abeille part à la quête d’un emplacement où s’installer, cela donne un nuage vrombissant d’abeilles. Dans un premier temps, l’essaim va se poser non loin de son point de départ. Il peut s’accrocher à une branche (le plus souvent) ou se poser au sol. De ce premier point d’accroche, des exploratrices partent en reconnaissance pour trouver un endroit propice à l’abri pour y fonder la nouvelle colonie.

Une belle grappe d’abeilles

C’est le moment idéal pour récupérer l’essaim et lui fournir un lieu de vie adapté, bien plus confortable qu’un conduit de cheminée ou derrière un volet où l’essaim risque d’être délogé violemment ou détruit. Et c’est le moment où vous intervenez : au lieu d’appeler les pompiers si vous vous retrouvez avec quelques milliers d’abeilles dans votre jardin, appelez-moi au numéro ci-dessous.

L’essentiel : un essaim s’est posé dans votre jardin ou derrière votre volet et forme une grappe,

il faut faire vite, appelez-moi au

al-terre-ferme-tel-portable

Si une colonie s’est installée et a commencé à construire des rayons, il n’y a pas d’urgence, sauf peut-être pour vous si c’est dans un endroit gênant. Je peux venir récupérer à votre demande la colonie et ses rayons.

Je peux intervenir dans un rayon (encore…) de 20km autour de Saran.

Limites : je ne suis pas mécanisé (nacelle), je ne pourrais peut-être donc pas faire quelque chose dans tous les cas : essaim trop haut dans un arbre, essaim dans une cheminée inaccessible ou sous un toit…

Mais souvent ça se passe bien : un exemple.